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🎑 Cette note vise à rassembler :
- Une analyse quantitative de notre bilan carbone (principaux postes d'émissions)
- Une analyse qualitative de l'exercice
- Les grands apprentissages
- Les pistes pour améliorer notre bilan carbone
- Les pistes pour aller plus loin et avoir un impact plus grand auprès de nos parties prenantes externes
Elle peut servir de base à :
- Un partage interne ☑️
- Un partage externe (ex : article)
- Le rapport de stage d'Amélie ☑️
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Analyse quantitative de notre bilan carbone
cf. Bilan Carbone et stratégie bas carbone
Les constats
- L’impact lié à l’alimentation pèse lourd
- Les locaux de l’époque, chauffés au gaz, plombaient aussi le BC
- L’empreinte carbone de notre compte bancaire, pas pris en compte dans le BC, représenteraient (cf rapport d’Oxfam) à lui seul le triple du BC actuel.
Analyse qualitative de l'exercice
- Obtenir les données chiffrées : c’est difficile. Les données sont parfois manquantes, ont été estimées.
- Penser à tous les postes d’émissions et les limites de ce qu’on prend en compte vs. ce qu’on ne prend pas en compte sont parfois floues. (exemple, le télétravail, dont la prise en compte n’est pas claire).
- Les émissions liées au secteur bancaire ne sont pas prises en compte. Ça pose question puisque c’est ce qui pèserait le plus lourd : est-ce que c’est pertinent de ne pas prendre en compte ce secteur si on veut avoir un réel impact ?
- L'impact des activités de Vendredi chez les partenaires ne peut pas facilement être évalué.
Pistes de réduction de nos émissions en interne
Pistes pour aller plus loin et avoir un impact plus grand auprès de nos parties prenantes externes